TOUT CE QUE VOUS AVEZ TOUJOURS VOULU SAVOIR SUR
« LE PARFUM DES ORIGINES A NOS JOURS »
LA REVUE DE PRESSE INTERNATIONALE
![]() Décider de traiter d’un objet historique, quel qu’il soit, de l’Egypte antique à nos jours, constitue un pari impossible à tenir dans la mesure où il implique d’apprendre toutes les périodes ainsi traversées. C’est toutefois le parti adopté par Annick Le Guérer. LIRE LA SUITE |
Etre au parfum…, l’expression montre bien la force et l’impalpabilité de la connaissance apportée par l’odeur. On sait avant d’avoir réellement appris, on connait sans avoir besoin d’explication. Il y a de l’indicible là-dedans, et c’est justement le mérite d’Annick Le Guérer, auteur du « Parfum des origines à nos jours » de savoir parler du parfum. … LIRE LA SUITE |
Un parfum peut-il vraiment nous faire perdre la tête, nous emporter vers quelques chemins de traverse où la passion prend le pas sur la raison ? Réponses côté corps et côté esprit avec Jacques Waynberg, sexothérapeute, et Gisèle Harrus-Révidi, psychanalyste spécialiste des sens. LIRE LA SUITE |
![]() Comment se parfume-t-on aujourd’hui ? les odeurs en 2005 sont-elles très différentes de celles du siècle dernier ? Annick Le Guérer, anthropologue et auteure d’un ouvrage sur le parfum, nous éclaire. LIRE LA SUITE |
![]() « Secrets des sens – Segredos dos sentidos »
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![]() Le parfum est comme une seconde signature. Il révèle et il cache des choses. Anne Calife en fait un roman et Annick Le Guérer retrace son histoire. « Vous souvenez-vous de Jean-Baptiste Grenouille ? Né en 1738 à Paris ? Il eut une naissance et une enfance épouvantables. Tout autre que lui n’aurait pas survécu. Mais lui possédait un don, une arme redoutable : un nez unique au monde. Il se voyait devenir le Dieu tout puissant de l’univers car « qui maîtrisait les odeurs, maîtrisait le cœur des hommes » LIRE LA SUITE |
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![]() Ce qui sent bon dans le flacon ne cou^te que 5% de son prix : à tout miser sur le marketing, les marques étouffent la parfumerie à la Française… LIRE LA SUITE |
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![]() Les eaux odorantes se sont tellement banalisées qu’on les offre moins en cadeau. L’avenir est aux effluves qui soignent, apaisent ou stimulent. Ça sent la cannelle à l’hôpital et la fraise en prison. Un jour, les hôpitaux seront-ils parfumés? Un jour, les chambres de réanimation fleureront-elles le foin ou la cannelle? Et les relents d’éther ou de viscères seront-ils recouverts par des senteurs évoquant la mer ou les biscuits de grand-mère? LIRE LA SUITE |
![]() C’est la question que l’on peut se poser devant le caractère de plus en plus « désincarné » du parfum, devenu produit abstrait et, la plupart du temps, objet du marketing. LIRE LA SUITE |
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